Constructeur automobile

Oui, contrairement à un vol régulier où la réservation ne peut être posée qu’avec le détail de l’identité de chaque passager, nous pouvons travailler en deux temps pour un vol affrété : sur la base du nombre de passagers, du volume et des particularités du fret à transporter (dimensions maximales, présence de matières dangereuses ou réglementées, d’animaux…), l’affrètement peut d’ores et déjà être lancé. Le détail du nombre exact et des noms des passagers et du fret pourra être fourni quelques jours avant le vol, et corrigé jusqu’au tout dernier moment.

Oui, AVICO sélectionne pour vous l’aéroport le plus proche de votre destination finale, et vérifie la faisabilité opérationnelle. Outre le gain de temps, cette solution est souvent optimale d’un point de vue financier. 

Les différentes contraintes des aéroports et des avions (longueur et piste et performances décollages, limitations de couvre-feu, saturation aéroportuaire et horaires de votre vol, etc…) sont prises en compte par nos experts dans leur évaluation opérationnelle afin de garantir la sécurité de votre opération et des conditions optimales de transport. 

Cela dépend du nombre de passagers, de la saison, des dates de départ, des horaires et de la distance à parcourir jusqu’à la destination. AVICO trouve l’avion le plus pertinent pour votre projet au meilleur prix. 

Par exemple, le prix pour un vol aller – retour Paris – Milan pour 180 passagers du vendredi au dimanche en été est de 344€ ttc / passager * 

*: Données à titre indicatif, non contractuelles 

Très simplement, la même réglementation s’applique de la même façon pour des vols réguliers ou des vols affrétés. En revanche, les obligations varient d’un pays à l’autre. Ainsi, en Europe et aux Etats Unis, les minimums d’assurance Responsabilité Civile sont importants et, quelle que soit la compagnie utilisée, les passagers et le fret seront assurés sur la base de montants importants, sur les vols réguliers comme sur les vols affrétés. Dans les autres cas, il faudra vérifier spécifiquement que c’est bien le cas, vol par vol, compagnie par compagnie, avec une attention toute particulière pour les vols domestiques hors Europe et Amérique du Nord, où les minimums internationaux classiques (tels que définis par la Convention de Varsovie et la Convention de Montréal) ne sont pas toujours obligatoirement applicables par tous.